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Pêle-mêle d’Elise

Bon, il parait que d’aucuns l’ont réclamé à corps et à cris alors je me lance dans l’écriture d’un article pour notre blog. Pour commencer – et afin de situer les choses – je vais poser le décor : mes écrits auront souvent plus une valeur anecdotique et humoristique, étant bien entendu que je laisse la partie plus « intellectuelle » à Monsieur qui, soit dit au passage, s’en sort plutôt bien. 😉

Alors, pour vous Mesdames qui m’avez réclamé avant mon départ, quelques clichés relatifs aux deux espèces menacées que sont le « bûcheron canadien » et le « fermier du Wyoming », j’ai peur de vous décevoir ! De fait, le premier n’est aucunement visible dans ces contrées lointaines, ou alors, il n’a de bûcheron que la chemise à damiers (pas de quoi se pâmer donc, vous en conviendrez). Quant au second, alors là, c’est encore plus compliqué de vous livrer mon ressenti dans la mesure où – tenez-vous bien, le suspense est à son maximum – je n’en ai croisé aucun. D’ailleurs, il faut bien le dire, nous n’avons croisé presque personne dans ce charmant état du Wyoming qui ne fait donc pas honneur à sa réputation (sortez vos mouchoirs Mesdames, je viens de vous casser, en un tour de clavier, vos derniers espoirs).

Entrons maintenant dans le vif du sujet : à savoir mon ressenti sur le Canada et les Etats-Unis… Je ne vais pas vous donner des détails historiques ou pittoresques, Philippe l’a déjà fait avant moi avec photos à l’appui. Je suis tombée amoureuse du Canada, de ses grands espaces et de son air pur, et plus particulièrement de la ville de Montréal… mais TABARNAK (seuls les initiés comprendront)… qui a inventé leur système de stationnement? Parce qu’il faut bien l’avouer, il y a de quoi s’arracher la tignasse avant de comprendre où l’on peut garer son véhicule. Entre les rues dans lesquelles on ne peut stationner que de 9H00 à 14h00 et celles où l’on peut stationner de 08H30 à 15h00 – et je vous assure que j’exagère à peine – il y a de quoi devenir chèvre !

Et puis, grosse déception aussi concernant la spécialité du coin, à tout le moins dans la région de Québec, à savoir : la POUTINE qui nous a laissé un goût de « n’y revenez pas » et dont nous cherchons encore aujourd’hui l’intérêt … désolée, là aussi, de ne pas être très enthousiaste, mais vraiment, avec un nom pareil, comment se laisser séduire! 😉

Passons maintenant à la deuxième partie de notre séjour : le territoire américain et ses parcs. Là encore, je laisse à Philippe le soin de vous charmer avec ses photos qui vont, à coup sûr, vous donnez l’envie de casser immédiatement votre PEL et de venir nous rejoindre!

Je suis donc, vous l’aurez compris, totalement conquise, d’autant que je me suis entretemps laissée entraîner par le champ des sirènes des magasins WALMART (supermarchés à l’américaine où l’on trouve à peu près tout) et sachez que, j’ai même acheté quelques babioles (et là encore, ceux et celles qui me connaissent, savent que je viens par là-même de signer mon arrêt de mort « modesque » , ce qui signifie que ne vous régalerai donc pas de portraits avec tenues dernier cri).

Je vous laisse donc sur ces derniers mots et promet de revenir bientôt vous narrer « l’envers du décors du rêve américain » .

Montréal, instantanés

Quelques instantanés de la ville de Montréal, pris au cours de la semaine passée…

 

La grande roue qui surplombe le Saint- Laurent offre une vue idéale sur la rivière et le vieux port.

 

Le quartier olympique de 76, réaménagé en cité des sciences, est un bel exemple de reconversion d’un complexe olympique éphémère. Nous avons pu admirer deux splendides films au planétarium situé dans cet ensemble : l’un, « continuum », à caractère artistique était un voyage de l’infiniment grand à l’infini petit ; l’autre, « aurorae », plus scientifique, nous invitait à découvrir les aurores boréales.

 

Magnifiques jeux de lumière pour illuminer l’autel et l’orgue de la basilique Sainte-Catherine.

 

La cathédrale Maire-Reine-du-Monde à la décoration plus sobre, mais de laquelle se dégage une belle sérénité.

 

Les écureuils sont présents partout dans la ville. Ils se laissent approcher sans crainte. Nous avons été encore plus surpris de voir des dizaines de ratons laveurs de grande taille s’approcher des personnes à la tombée de la nuit, au parc du Mont Royal. Mais ceux-là, je n’ai pas pu les prendre en photo, faute de luminosité suffisante.

 

Splendide Musée des Beaux Arts qui abritent des collections aussi riches en peinture européenne, depuis le Moyen-Age jusqu’aux Impressionnistes (ici Bouguereau), qu’en Art Moderne.